Vécu de langues en milieux australiens
Sept ans me séparent déjà des expériences vécues en Australie. Expériences d’un Français en terre australienne, d’un didacticien du FLE en « stage intensif » d’apprentissage de l’anglais, enfin d’un praticien du FLE à l’université de La Trobe et de Monash (Melbourne).
Sept ans me séparent déjà des expériences vécues en Australie. Expériences d’un Français en terre australienne, d’un didacticien du FLE en « stage intensif » d’apprentissage de l’anglais, enfin d’un praticien du FLE à l’université de La Trobe et de Monash (Melbourne).
Ces expériences simultanées et entrecroisées, rares pour un enseignant/chercheur en FLE, méritaient un effort d’analyse et d’introspection pour rendre compte de ce que signifie « apprendre une langue étrangère ». Cet effort, il est vrai, a été facilité par le continuum de remarques et de réflexions qui caractérise certainement la vie affective et intellectuelle de tout individu vivant à l’étranger, dans un autre contexte linguistique et culturel.
Je ne chercherai donc pas à me réapproprier ces textes écrits à Melbourne, ou plutôt dans quelques-uns de ces « suburbs ». Je chercherai plutôt à utiliser les tracés laissés par ces diverses expériences pour présenter les textes qui suivent : « Traces d’apprentissage », « Théorisons un peu de vécu ! », « Le corps disant », etc.
| Année de publication | 2006 |
|---|---|
| Auteur | Victor Allouche |
| Format | 15 x 21 |
| ISBN | 2-84269-719-7 |
| Nombre de pages | 150 |
| Éditeur | Presses universitaires de la Méditerranée – PULM |
| Langue | Français |
| Type ouvrage | Broché, dos carré collé |
| Date de mise à disposition | 20 juin 2006 |
| Quantité stock 8 Sens | 2 |
| Poids | 0.220000 |
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